Le 29 janvier 2020, le Conseil de Prud’hommes de Longjumeau a débouté une esthéticienne de toutes ses demandes contre l’institut qui l’embauchait.
En effet, elle ne démontrait ni avoir droit à la prime conventionnelle réclamée ni la réalité des mauvaises conditions de travail invoquées.
Les juges ont constaté que l’employeur rapportait la preuve que les faits allégués par la demanderesse étaient peu probables et ont tenu compte du fait que la salariée avait quitté l’institut pour en ouvrir un autre, tout proche.
La salariée a été déboutée de toutes ses demandes et a été condamnée à rembourser une somme forfaitaire pour frais de justice au profit de son ancien employeur.